Dossia Avdelidi

Incidences du dernier enseignement de Lacan sur la forclusion du Nom-du-Père- Ντόσια Αβδελίδη, Ψυχαναλύτρια - Ψυχολόγος

Expose de soutenance pour l’obtention du doctorat en psychanalyse

Le choix du thème

Mon intention dans ce travail était d’étudier le concept de forclusion du Nom-du-Père à partir du dernier enseignement de Lacan. J’ai rassemblé ainsi deux sujets différents : La psychose et le dernier enseignement de Lacan.

1. La question de la psychose m’intéressait même avant d’entreprendre mes études en psychologie. En fait, c’était mon questionnement sur la folie qui m’a mené à faire ces études. Qu’est-ce que la folie ? est la question sous jacente qui m’a conduit jusqu'à l’achèvement de ce travail. Ecrire sur la psychose, m’interroger sur son sujet et chercher des réponses est, d’une certaine manière, un effort de faire avec quelque chose qui était indicible pour moi, de border le trou là où le fantasme s’avère insuffisant.

2. Le dernier enseignement était depuis toujours pour moi, l’enseignement de Lacan en tant que tel et constituait depuis très tôt l’objet de mes recherches. L’idée de l’absence du sens et la notion de la contingence qu’offre cet enseignement, m’a apporté un soulagement et une solution contre une conception du monde où tout fait sens et peux s’expliquer.

L’anneau qui noue ces deux sujets différents est le Nom-du-Père, dans la mesure où du début jusqu’à la fin de l’enseignement de Lacan, il change de statut. J’ai essayé de tirer les conséquences logiques de ce changement.

Cette thèse a eu un effet de rectification subjective. J’ai commencé avec l’ambition de répondre à toutes les questions en suspens, de donner la réponse définitive, de résoudre toutes les contradictions. Mais d’un coté j’ai été confrontée à S(A) barré et j’ai réalisé que c’est impossible de tout résoudre, de l’autre coté je me suis rendu compte que c’est beaucoup plus intéressant et plus fertile de laisser quelques questions ouvertes, ce qui permet de continuer à élaborer et à inventer. D’un certain point de vue, je pense désormais que la question est plus importante que la réponse.

Ceci dit que le sujet qui a écrit les premières pages de cette thèse, n’est pas tout à fait le même avec celui qui a écrit les dernières pages. Ce que je considère, à certains égards, comme un succès. A ce décalage -entre ce qui j’étais et ce qui je suis devenue- j’attribue les éventuelles hésitations, oscillations, contradictions ou inconsistances que le lecteur peut repérer dans mon travail. En fin de compte, je pense que les limites d’un travail ne sont que les limites de son écrivain.

Ce travail constitue alors une lecture possible de l’œuvre de Lacan, une lecture entre entres, lecture qui reste subjective.

Les grandes lignes du thème

En 1958, Lacan remarque que la fonction du père a une place importante dans l’histoire de la psychanalyse. La même année, dans sa question préliminaire, il donne à la psychose sa condition essentielle: c’est la forclusion du Nom-du-Père au lieu de l’Autre et l’échec de la métaphore paternelle qui séparent la névrose de la psychose.

Lacan articule en 1958 la psychose par rapport au Nom-du-Père. Il le considère comme un signifiant essentiel à l’intérieur de l’Autre, il avance même qu’il est le signifiant qui donne support à la loi et centre la psychose autour de l’absence de ce signifiant. Ainsi, il formalise le père freudien dans le Nom-du-Père, qu’il positionne comme point de capiton majeur de l’ordre symbolique.

Dans le séminaire V, qui est contemporain de la question préliminaire, Lacan introduit le S(A) barré. La barre sur l’Autre a des énormes conséquences théoriques. Il n’y a plus de garantie dans l’Autre, l’Autre est inconsistant, il y a toujours un signifiant qui manque, tout ne peut pas être dit. C’est-à-dire, il n’y a pas d’Autre de l’Autre.

J’ai essayé donc à partir de cette avancée théorique bouleversante d’investiguer certaines notions lacaniennes et de tirer les conséquences. J’ai questionné l’accident du symbolique et ce que Lacan appelle le défaut de la psychose, la forclusion, le Nom-du-Père, la métaphore paternelle, la causalité de la psychose ainsi que la condition qui sépare la névrose de la psychose dans le dernier enseignement de Lacan.

Lacan développe sa théorie de la psychose dans les années 50 où prédomine le symbolique et la suprématie du signifiant. La période du séminaire III, est celle du structuralisme et du point de capiton. Il attribue dans ce séminaire une causalité symbolique à la psychose. La Verwerfung indique à Lacan qu’il y a quelque chose qui manque dans la relation du sujet au signifiant. Il s’agit d’une expulsion primaire, d’une expulsion hors du sujet, d’une abolition symbolique.

Dans la question préliminaire, ayant comme point de départ la névrose, Lacan essaie de formaliser et d’expliquer la psychose. En effet, il me semble que sa théorie pour la psychose peut se résumer à la phrase suivante qu’on trouve dans les écrits:

C’est dans un accident de ce registre [symbolique] et de ce qui s’y accomplit à savoir la forclusion du Nom-du-Père à la place de l’Autre, et dans l’échec de la métaphore paternelle que nous désignons le défaut qui donne à la psychose sa condition essentielle, avec la structure qui la sépare de la névrose[1].

J’ai essayé alors de réexaminer cette phrase de Lacan à partir des ses avancées ultérieures.

Un lecteur averti de l’œuvre de Lacan se rend compte très vite que la forclusion a aussi d’autres usages. Il ne l’utilise pas seulement quand il veut désigner une défaillance du symbolique et un manque du signifiant, mais bien à d’autres occurrences. Il y a des occurrences où il faut un usage restreint de la forclusion, réduit à la psychose, et d’autres où la forclusion se généralise et ne concerne plus le signifiant et la psychose, mais le dire lui-même.

À propos de la causalité, j’ai essayé de passer par l’insondable décision de l’être, à la théorie de l’échec de la métaphore paternelle de la période classique, jusqu’ à la rencontre contingente avec la jouissance du dernier enseignement.

Par la suite, j’ai suivi la construction du Nom-du-Père et de la métaphore paternelle que Lacan fait avec Freud dans le séminaire V ainsi que ses constructions au-delà de Freud, à partir du séminaire inexistant. Le 20 novembre 1963, Lacan donne son séminaire tel qu’il l’avait préparé, mais dit d’emblée qu’il ne sera pas possible de nous faire entendre pourquoi son séminaire a le titre Les Noms-du-Père et non pas Le Nom-du-Père. Pourtant, il donne les repères où il a fondé les linéaments du séminaire de cette année-là. Il explique qu’il voulait nouer ses développements sur la métaphore paternelle du séminaire V avec la fonction du nom propre qu’il élabore dans son séminaire sur l’identification et le drame du père dans la trilogie de Claudel tel qu’il le trace dans son séminaire sur le transfert. J’ai suivi pas à pas ces développements.

J’ai estimé que les outils théoriques qui ont permis à Lacan de critiquer le mythe freudien et de passer au-delà du père,  c’est d’abord la barre sur l’Autre et puis ses développements sur la sexualité féminine.

Les enjeux

Au dernier enseignement de Lacan nous sommes passés du signifiant du Nom-du-Père à la fonction du Nom-du-Père. Dans Les Non-dupes errent Lacan marque un tournant important par rapport à la conception du Nom-du-Père. En tenant compte des changements sociaux ainsi que le point de l’histoire où il était, il affirme qu’au Nom-du-Père se substitue le nommer à. Dès lors, c’est plus à la fonction du père qu’on se réfère, qu’à son signifiant. La fonction du père, qui est en fin de compte la fonction du langage, est de donner un nom aux choses.

À la fin de l’enseignement de Lacan l’accent n’est plus porté sur le Nom-du-Père en tant que signifiant, mais en tant que place. A la place du Nom-du-Père vient se loger tout ce qui donnera du sens au réel. Je veux citer une phrase de Jacques-Alain Miller qui me parait indicative de ce fait :

La métaphore comme structure peut s’emparer et mettre en fonction des éléments classiques. L’élément classique par excellence, c’est le Nom-du-Père. Mais elle peut aussi s’emparer d’éléments non standards, d’éléments rares, ou même purement individuels, et les mettre en fonction[2].

Pour Miller tout sujet est conditionné à inventer à cause de l’inexistence de l’Autre. C’est le traumatisme du signifiant, traumatisme qui fait énigme pour le sujet, qui l’oblige à inventer. Cette invention est une invention de sens, c’est-à-dire un délire.

En termes borroméens, la fonction du Nom-du-Père est de nouer le réel, le symbolique et l’imaginaire. Mais à cette place du quatrième rond, indispensable et irréductible, que Lacan a appelé le sinthome, peuvent venir se loger aussi des éléments différents du Nom-du-Père.

C’est pour cette raison que je me suis beaucoup intéressée à la question de la psychose ordinaire. Miller conçoit la psychose ordinaire comme dérivée du dernier enseignement de Lacan. Elle est alors une conséquence directe des dernières avancées de Lacan sur la psychanalyse. Pourtant, il ne s’agit pas d’un concept. Il s’agit de l’invention d’un mot, d’une expression, d’un signifiant. Il était assez difficile pour moi de respecter cette conception. Mon idée était de faire de la psychose ordinaire un concept bien défini et délimité. Mon ambition était d’affirmer que la psychose ordinaire est la psychose non-declenchable. Affirmation qui pose certains problèmes, au moins jusqu'à ce moment. Mais c’est vers ce travail de recherche que j’aimerai centrer mes efforts.

Les questions en suspens

Ce qui m’intéresse alors plus particulièrement concernant la psychose ordinaire c’est le fait que certaines psychoses ne mènent pas vers un déclenchement : il s’agit des psychoses avec un désordre au joint le plus intime du sentiment de vie du sujet, qui évoluent sans bruit, mais avec un trou qui se perpétue.

Qu’est-ce qui caractérise ces psychoses ? La différence entre psychose et psychose ordinaire telle que Miller l’avance dans son « Effet retour sur la psychose ordinaire », est que dans la psychose le Nom-du-Père est absent et ce qu’on y observe est le P0 tandis que dans la psychose ordinaire il y a un faire-croire compensatoire du Nom-du-Père. 

Ma grande question était, comment est-ce qu’on pourra différentier une psychose qui ne se déclenchera pas, d’une psychose qui se trouve dans la période avant le déclenchement.

Pour essayer d’esquisser une première réponse à cette question je me suis appuyée sur les travaux de trois collègues. Si selon Freud, dans la psychose le moi se coupe de la réalité dans un premier temps pour créer le délire comme nouvelle réalité en deuxième temps, ne pouvons-nous pas affirmer que la suppléance qui ferait qu’une psychose ne se déclenche pas, s’installe dès le premier temps ? Alexandre Stevens avance que « si le délire équivaut à la réparation qui porte sur le deuxième temps, après les effets catastrophiques produits par le déclenchement, il faut au contraire situer la suppléance comme réparation portant sur le premier temps »[3]. Mais ceci ne nous garantit pas que cette suppléance tiendra.

Anne Lysy a mis en évidence que les suppléances qui empêchent le déclenchement impliquent un symptôme sur son versant de la lettre, c’est-à-dire impliquent le réel. Cette affirmation rejoint l’avis de Jean-Claude Maleval qui soutient que les identifications imaginaires les plus stables possèdent deux caractéristiques supplémentaires, à savoir elles sont porteuses d’idéal et elles sont connectées avec le réel. Il semble que la connexion soit du symptôme soit de l’identification imaginaire avec le réel est cruciale pour l’empêchement du déclenchement.

Un autre point important était ma conception que l’absence dedéclenchement au sens classique du terme, ne signifie pas automatiquement qu’il s’agit d’une psychose ordinaire.

Cette conception m’a conduit à m’interroger sur le cas de Ludwig Wittgenstein. S’agit-il d’une psychose ordinaire ou d’une mélancolie ? Je me suis interrogé sur le cas de Wittgenstein parce que d’un côté, il n’y a jamais eu déclenchement au sens classique du terme, de l’autre Wittgenstein présente des caractéristiques de la mélancolie déclenchée. J’ai essayé de démontrer que la psychose ordinaire est une psychose qui n’est pas déclenchée et que la psychose de Wittgenstein, malgré l’absence du déclenchement classique, est une psychose déclenchée.

Les points d’aboutissement

La psychose ordinaire est l’illustration de la clinique moderne, une clinique où la possibilité de suppléance du Nom-du-Père, ne se réduit pas à la métaphore délirante mise en place après le déclenchement. La forclusion du Nom-du-Père telle qu’elle est formalisée dans la question préliminaire est inapte à rendre compte de la suppléance dans le dernier enseignement de Lacan, suppléance qui est mise en place, dans plusieurs cas, avant le déclenchement.

La notion du Nom-du-Père ainsi que celle de la forclusion ont bougé dans le dernier enseignement de Lacan. Le Nom-du-Père, n’est plus l’Autre de l’Autre mais est réduit au sinthome, à une fonction de nomination du réel. De ce fait, ce qui importe dans le dernier enseignement c’est sa fonction qui peut être remplacée par d’autres éléments. Dans la clinique borroméenne, la forclusion du Nom-du-Père est traduite par le dénouage du nœud borroméen ou par la mise en place d’un nœud qui n’est pas borroméen. Or, un nœud non-borroméen peut tenir, parfois pour toute la vie du sujet.

Le Nom-du-Père qui était le pivot de l’ordre symbolique ne devient qu’une solution de nouage parmi d’autres, ne devient qu’un sinthome parmi d’autres. Comme l’affirme Dominique Holvoet, dans un séminaire à Montréal que je ne connaissais pas lors de la rédaction de ma thèse, « A certains égards, le Nom-du-Père, la croyance au Père est structuralement un délire parmi d’autres »[4].

En effet, le dernier enseignement de Lacan offre une autre perspective clinique. Il ne s’agit pas de comparer ou juxtaposer les deux cliniques. Il s’agit de deux cliniques qui offrent deux perspectives différentes. Or, en s’appuyant exclusivement sur la première clinique, il est impossible de résoudre les embrouilles de la psychose ordinaire.

Dans les cas alors où une suppléance tient une structure psychotique, la seule différence entre névrose et psychose se réduit au mode de nouage. Ce n’est pas que cette différence n’existe pas, c’est que la possibilité de suppléance fait qu’un sujet psychotique aussi peut avoir un sinthome qui permet au symbolique, à l’imaginaire et au réel de tenir. Certes, la forclusion du nouage borroméen a des conséquences au niveau du désir, du fantasme et de la jouissance mais parfois, ces différences sont si discrètes qu’un clinicien non averti n’a plus de boussole.

La question qu’est-ce qui différentie névrose-psychose était la question du premier enseignement et la réponse était la forclusion du Nom-du-Père. Dans le dernier enseignement la question devient qu’est-ce qui noue la structure du sujet. La réponse est le sinthome. Comme l’affirme Nicole Guey dans un livre paru récemment :

On en vient non plus à décrire la structure en termes de névrose, psychose, ou perversion, mais à tenter de cerner ce qui pour un sujet est forclos et reparait dans le réel lors d’une mauvaise rencontre[5].

   Ce qui importe à l’aire de l’Autre sans Autre c’est la fonction de nouage, qu’il soit borroméen ou non. Il s’agit d’une clinique pragmatique où ce qui importe c’est le fait que ça fonctionne ou que ça ne fonctionne pas. Pour Miller, « il n’y a pas d’Autre de l’Autre veut dire qu’il n’y a pas le Nom-du-Père, et qu’il y a au mieux les noms-du-père »[6].

La question devient désormais, qu’est-ce qui permet le nouage des trois registres chez un sujet. C’est-à-dire qu’est-ce qui constitue unpoint de capiton pour le sujet. Il n’y a pas une connexion naturelle entre le S1 et le S2. Tout sujet est obligé d’inventer sa propre réponse, qu’elle soit banale ou pas.

«Tous, nous surgissons au monde avec une forclusion»[7], affirme Guy Briole. Pour tout un chacun, il y a un élément qui n’est pas symbolisé. Cette perspective est celle de la forclusion généralisée. Du point de vue de la forclusion restreinte, celle qui est spécifique de la psychose, dans le dernier enseignement, l’accent n’est plus porté sur ce qui manque, mais sur ce qui fonctionne. En effet, il ne s’agit plus d’affirmer qu’il y a un défaut supplémentaire ou spécifique dans la psychose, mais de souligner que ce défaut peut être suppléé par une autre réponse que celle du Nom-du-Père. Névrose et psychose constituent deux réponses différentes. Il ne s’agit pas alors d’abolir les différences structurales. Il s’agit d’établir une perspective où ces différences ne sont pas l’enjeu.

La psychose ordinaire nous démontre qu’une suppléance peut fonctionner mais ce qui ne fonctionne pas c’est le désir et le fantasme fondamental tandis que la jouissance reste dérégulée et l’objet α non extrait, conséquences de la forclusion qu’elle soit traduite comme défaut du Nom-du-Père, de nouage ou de nomination. Il me semble que dans la psychose ordinaire il convient de se centrer plutôt sur le triptyque désir-fantasme-jouissance et sur la relation du sujet à l’objet α et au phallus, plutôt qu’à la forclusion du Nom-du-Père.

C’est alors sur la question de la psychose ordinaire que je désire continuer ma recherche. J’aimerai approfondir sur les conditions qui permettent à une structure psychotique d’échapper au déclenchement. C’est le terme de psychose non-déclenchable qui m’intéresse plus particulièrement. Est-ce qu’il y a une différence entre psychose non-declanchable et psychose non-déclenchée ? Est-ce qu’il y a lieu pour une nouvelle clinique différentielle ? La psychose type chêne et la psychose type roseau peuvent-elles constituer cette nouvelle clinique différentielle ? La phrase de Miller : « Vous avez une différence entre les psychoses qui peuvent être déclenchées et celles qui ne le peuvent pas », m’intrigue. Comment cerner cette différence ? Voici quelques questions pour la suite…

 


[1] Jacques Lacan, « D’une question préliminaire à tout traitement possible de la psychose » (1958), Écrits, Paris : Seuil, p.575

[2] Jacques-Alain Miller, « La métonymie psychotique », La conversation d’Arcachon, Paris : Agalma-Seuil, 1997, p.281

[3] Alexandre Stevens, «Délire et suppléance», Quarto, Revue de psychanalyse, no 42, 1990, version cd-rom, Eurl-Huysmans, Paris : Éditions de l’ECF, 2007, p. 18

[4] Dominique Holvoet, « La psychose ordinaire : l’issue par le symptôme », séminaire théorique à Montréal, 28 avril 2013, Actes du pont freudien, no36, p.58

[5] Nicole Guey, Le Bonheur du phallus, Fontenay-le-Comte : Editions Lussaud , 2013, p.74

[6] Jacques-Alain Miller, « Une réflexion sur l’Œdipe et son au-delà » (2013), Mental, Revue internationale de psychanalyse, no31, 2014, p.142

[7] Guy Briole, « La psychose ordinaire et le psychanalyste : clinique et acte », séminaire théorique à Montréal, 24 mars 2013, Actes du pont freudien, no35, p.30